Le PERP, oui, mais est-ce judicieux dans mon cas ?
puisque tous les versements effectués durant l’année civile sont déductibles à hauteur de *10% de notre revenu net professionnel* (avec un maximum de 25.747 €) …
h2. Mieux encore :
Nous disposons d’un *droit à report de 3 ans*, nous permettant de générer, en une seule fois, de très importantes économies fiscales !
h2. Cerise sur le gâteau :
Nous pouvons même *mutualiser les droits des deux conjoints*, sur une seule tête, permettant ainsi de favoriser celui ayant le plus besoin de compléter ses futures prestations sociales, en tant que retraité !
h2. Confort suprême :
De qui plus est, c’est bien notre avis d’imposition qui nous informe, avec précision, du montant maximum autorisé à déduire, de notre droit à report, et ce, pour chacun des conjoints concernés …
h2. Une solution d’autofinancement :
Débloquez de votre « PEE »:http://blog.expertass.com/lexique/39/pee une partie des sommes disponibles, afin de défiscaliser dans le *PERP*, sans déséquilibrer votre trésorerie courante …
h2. Seules précautions avant d’utiliser le *PERP* :
– Déterminer au préalable le montant de ses futures pensions sociales, par un « Bilan Retraite Détaillé »:http://www.expertass.com/retraite/bilan-retraite-gratuit.html offert par nos services …
– Déterminer avec soin, à l’appui des conseils d’un expert, le meilleur des supports du marché sur lequel les investissements seront affectés, et ce, d’autant plus que l’ensemble des capitaux ne seront en aucun cas récupérables avant le départ en retraite, exclusivement sous la forme de pension !