Qu’il s’agisse :
- d’un commercial, Salarié au sein d’une compagnie d’assurances ou d’un cabinet d’agent général d’assurances, d’un cabinet de courtage,
- d’un Agent Général d’une compagnie d’assurances,
- d’un Courtier en assurances,
- d’un Mandataire d’assurances,
Tous ont, certes, vocation à bien vous conseiller en vue de vous vendre le(s) contrat(s) d’assurances dont vous avez en principe besoin ou intérêt à souscrire …
Mais tous ont aussi le devoir de vous accompagner en cas de difficultés techniques ou de gestion auprès de la compagnie d’assurances concernée !
Trop d’intermédiaires ont tendance à oublier que leur rôle ne se résume pas uniquement à la vente de contrats d’assurances, mais aussi à assister leurs clients, lors d’un sinistre ou pour tout acte de gestion.
Sachez bien le leur rappeler et vous pourrez constater, sauf cas exceptionnel, une d’autant plus nette accélération dans les délais de traitement de votre sinistre ou acte de gestion, que vous aurez su exiger l’intervention de votre intermédiaire au sein de la procédure !
Trop d’assurés ont le réflexe de s’adresser directement au service de gestion de la compagnie d’assurances concernée, pensant ainsi gagner du temps, mais en perdent dans la réalité. En effet, l’intermédiaire sait parfaitement à qui s’adresser et vous fera le plus souvent gagner du temps en vue de votre indemnisation ou de l’édition de votre avenant …
En conclusion, faites appel à votre conseiller !
Tout d’abord, il faut garder en tête qu’en assurance, nous avons, ce que nous appelons une « inversion du cycle de production ». C’est-à-dire que nous ne connaissons le coût réel des sinistres qu’a posteriori. Le montant de la cotisation est donc établi sur une prévision du risque, réalisée à partir de l’analyse des événements passés et actuels. Les assureurs ne sont pas devins. Ils sont avant tout statisticiens. Il faut donc que notre tarif anticipe le risque potentiel de manière équilibrée, d’une part afin que le client ne paie pas un prix injustifié, et d’autre part que l’assureur puisse piloter sa solvabilité.
Tout d’abord, il faut garder en tête qu’en assurance, nous avons, ce que nous appelons une « inversion du cycle de production ». C’est-à-dire que nous ne connaissons le coût réel des sinistres qu’a posteriori. Le montant de la cotisation est donc établi sur une prévision du risque, réalisée à partir de l’analyse des événements passés et actuels. Les assureurs ne sont pas devins. Ils sont avant tout statisticiens. Il faut donc que notre tarif anticipe le risque potentiel de manière équilibrée, d’une part afin que le client ne paie pas un prix injustifié, et d’autre part que l’assureur puisse piloter sa solvabilité.